L’auteur met l’accent sur l’importance primordiale de la conscience comme essence de l’être humain, différenciant la capacité humaine d’être conscient de sa propre conscience de celle des animaux. Il développe une philosophie radicale (qui cherche la « racine ») de la conscience, pour explorer comment nous sommes les co-créateurs de notre réalité à travers un « cinéma intérieur ».
D’où notre responsabilité d’êtres humains en tant que « producteurs » de nos représentations du monde. Cette liberté intérieure peut mener à une éthique de la joie –plutôt qu’à un devoir moral extérieur contraignant – et à une quête incessante de vérité au-delà des illusions.
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